Après l’accident le conducteur, légèrement blessé, a lâché des propos plus que troublants: « j’ai déraillé, qu’est ce que je pouvais y faire? », « J’espère qu’il n’y a pas de morts, sinon je les aurais sur la conscience », puis s’apercevant de l’étendue du désastre: « j’ai foiré, j’ai déconné, je veux mourir »… Mais à l’hôpital, il s’est muré dans le silence total refusant de répondre à la moindre question
– Quel Pied ce serait de faire la course avec la Garde Civile et de les dépasser en faisant sauter leur radars! Ha, ha! quelle amende pour la RENFE! Extrait d’un dialogue publié précédemment, photos à l’appui publiquement sur facebook par le conducteur du TGV de la catastrophe.
« Ce fut un déferlement record. Jamais je n’avais vu autant de politiques, de ministres,, pas même Gare du Nord (59 morts, des centaines de blessés) A Brétigny. Ni lors du crash du Concorde. Jamais pareil défilé. Les politiques sont venus marcher sur un tapis rouge, rouge de sang ». Un Urgentiste du SAMU.
Grand-reporter de guerre, (souvent), journaliste d'investigation, multi-médias, tous terrains, membre de l'association de la presse judiciaire, passionné par les phénomènes terroristes depuis le début de ma carrière à Europe11. Tropisme assumé pour le Moyen-Orient et la péninsule arabe-musulmaane. Jamais rassasié d'infos, accro à tous types d'enquêtes et reportages, j'aime explorer le dessous des cartes de dossiers sensibles. En toute liberté.
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