Après l’accident le conducteur, légèrement blessé, a lâché des propos plus que troublants: « j’ai déraillé, qu’est ce que je pouvais y faire? », « J’espère qu’il n’y a pas de morts, sinon je les aurais sur la conscience », puis s’apercevant de l’étendue du désastre: « j’ai foiré, j’ai déconné, je veux mourir »… Mais à l’hôpital, il s’est muré dans le silence total refusant de répondre à la moindre question
« Ce fut un déferlement record. Jamais je n’avais vu autant de politiques, de ministres,, pas même Gare du Nord (59 morts, des centaines de blessés) A Brétigny. Ni lors du crash du Concorde. Jamais pareil défilé. Les politiques sont venus marcher sur un tapis rouge, rouge de sang ». Un Urgentiste du SAMU.
Grand-reporter de guerre, (souvent), journaliste d'investigation, multi-médias, tous terrains, membre de l'association de la presse judiciaire, passionné par les phénomènes terroristes depuis le début de ma carrière à Europe11. Tropisme assumé pour le Moyen-Orient et la péninsule arabe-musulmaane. Jamais rassasié d'infos, accro à tous types d'enquêtes et reportages, j'aime explorer le dessous des cartes de dossiers sensibles. En toute liberté.
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