qu’on affiche les visages des captifs partout, que l’on veuille les montrer au 20 heures tous les soirs, nous paraît totalement contre-productif,. Les femmes et les hommes des services français n’ont pas besoin d’une pression médiatique quelconque pour savoir ce qu’ils ont à faire, et se souvenir tout d’un coup qu’il est des otages qu’il faut sauver
Grand-reporter de guerre, (souvent), journaliste d'investigation, multi-médias, tous terrains, membre de l'association de la presse judiciaire, passionné par les phénomènes terroristes depuis le début de ma carrière à Europe11. Tropisme assumé pour le Moyen-Orient et la péninsule arabe-musulmaane. Jamais rassasié d'infos, accro à tous types d'enquêtes et reportages, j'aime explorer le dessous des cartes de dossiers sensibles. En toute liberté.
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