Nombre de ceux qui ont vécu l’enfer à Nice, s’en souviendront. L’application d’alerte et d’informations, SAIP, qui aurait été o combien utile, alors que la panique s’était emparée de la ville,est restée désespérément muette, jusqu’à 1h34 du matin, soit 3 heures après l’attentat.
Grand-reporter de guerre, (souvent), journaliste d'investigation, multi-médias, tous terrains, membre de l'association de la presse judiciaire, passionné par les phénomènes terroristes depuis le début de ma carrière à Europe11. Tropisme assumé pour le Moyen-Orient et la péninsule arabe-musulmaane. Jamais rassasié d'infos, accro à tous types d'enquêtes et reportages, j'aime explorer le dessous des cartes de dossiers sensibles. En toute liberté.
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